Ev’ry Time I Feel the Spirit — arr. Fenno Heath (États-Unis, 1988)*

Upon the mountain when my Lord spoke,
out of His mouth came fire and smoke.
Looked all around me, it seemed so fine,
I asked the Lord if all was mine.

Oh Ev’ry time I feel the Spirit
moving in my heart, I will pray.
Yes, ev’ry time I feel the Spirit
moving in my heart, I will pray.

Upon the mountain when my Lord spoke,
out of His mouth came fire and smoke.
Looked all around me, it seemed so fine,
I asked the Lord if all was mine.

Ol’ Jordan River, it’s chilly and cold,
it chills the body, but not the soul.
Down in the valley, upon my knees
I asked the Lord, have mercy please

Ol’ Jordan River, it’s chilly and cold,
it chills the body, but not the soul.
There ain’t but one train on this track,
it runs to heaven and runs right back.

Sur la montagne quand mon Seigneur a parlé,
de sa bouche sortaient du feu et de la fumée.
J’ai regardé tout autour de moi, ça semblait si bien,
J’ai demandé au Seigneur si tout était mien.

Oh, chaque fois que je ressentirai l’Esprit
bouger dans mon cœur, je prierai.
Oui, chaque fois que je ressentirai l’Esprit
bouger dans mon cœur, je prierai.

Sur la montagne quand mon Seigneur a parlé,
de sa bouche sortaient du feu et de la fumée.
J’ai regardé tout autour de moi, ça semblait si bien,
J’ai demandé au Seigneur si tout était mien.

Dans le Jourdain, il fait frais et froid,
ça refroidit le corps, mais pas l’âme.
En bas dans la vallée, à genoux
J’ai demandé au Seigneur, ayez pitié de nous

Dans le Jourdain, il fait frais et froid,
ça refroidit le corps, mais pas l’âme.
Il n’y a qu’un seul train sur cette voie,
il court vers le ciel et revient ici bas.

Cet air traditionnel, comme plusieurs sur l’album Good News, a été magnifiquement harmonisé par le compositeur américain Fenno Heath. Je ne sais pas pourquoi, j’ai toujours cru qu’il était afro-américain, tout comme William Dawson qui a aussi harmonisé plusieurs pièces sur l’album. Quelle a été ma surprise de constater qu’il était bel et bien très blanc, comme presque nous tous dans la chorale ! Malaise rétrospectif à part, c’est une musique d’une qualité artistique indéniable, et une solide performance du soliste Benoît Leblanc.

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